Le Big Bang qui créé la matière, l’atmosphère son univers, comme le bruit d’un pistolet ou d’un pétard mouillé. Bang à l’assurance des faux rois, de ceux qui ne font que, s’imaginer, mais qui dans le fond, sont des poules mouillées. Bang roule des épaules, vous convoque dans un octogone, mais derrière, derrière, ça n’assume pas, jamais. Bang est l’esbrouffe, la poudre de perlimpinpin de tous les miracles qui ne se sont jamais vraiment produits, mais qu’on fait semblant qu’en vrai ça a grave marché. Bang s’étale et s’écrase, disgrâce, constamment en quête d’un objet dérobé par un PNJ édenté, comme bogué, dans une semi-réalité, sauf que l’objet c’est tout son être qui file entre ses doigts, peu importe le temps qu’il y passe, à réfléchir la gueule ouverte. Il sait pas, il comprend pas. Bang c’est le seul d’ailleurs, qui se rappelle pas, si ça se trouve avant ça il existait pas. Pourtant il a testé, sa peau c’est pas du bionique, il est capable de pisser, de bouffer, de cracher, de renifler, quand il se tape sur le bide ça fait pas de bruit de boîte de conserve rouillée.